je me suis enfin lancée dans la lecture d'un livre sur La Commune
il était temps
c'est de saison
trouvé chez un bouquiniste sur les quais de la Seine
un "idées" Gallimard de 1966 (belle époque graphique)
- moi si la couve n'est pas jolie je ne lis pas ! -
signé en 39 par Albert Ollivier (1915 - 1964) historien journaliste, résistant
que je salue ici et remercie
vu qu'en général j'ai un mal fou avec l'Histoire et avce sa manière pas trop
quelques petites remarques avant de terminer ma lecture
pour voir ensuite si l'échèvement change quelque chose
1) un peu avant 1870, les puristes se plaignent que Paris n'est plus ce qu'il était
défiguré par l'urbanisme moderne et policier
défiguré, asseptisé, émasculé, empêché de nuire
c'est le même constat que faiT Guy Debord 100 ans plus tard
qui quitte Paris pour les mêmes raisons
je trouve le rapprochement un peu décourageant
2) l'organistation révolutionnaire est d'une complication ahurissante
les théoriciens, les meneurs d'hommes, et
la foule, la masse, les gens
qui suit avec plus ou moins d'enthousiame
tout ça truffé d'intrigues personnelles et de combats de coqhumains
je trouve la constatation un peu décourageante
bref, je ne suis pas très encouragée
mais je continue ma lecture ...